LA PRESSE EN PARLE
Un Amour d’Alice
« Alice se veut comète, enfant prodige. Elle connaît son corps sur le bout des doigts, tâte ses attaches, ses jointures, ses saillies. Alice, grande amoureuse, prête à se défaire d’invisibles bandelettes. Alice, one woman show du désir. Bergère légère. Surprenante par ses audaces, intemporelle, et pourtant fille de notre temps, aussi insuffisamment appliquée que le fut le marquis de Pomponne. Francis Coulon la scrute sous ses différents aspects, la rend sensuelle, voluptueuse, dans une prose distinguée que n’aurait pas désavouée Madeleine de Scudéry. Alice tourbillonne, se roule et s’enroule, se pelotonne, les yeux rivés au ciel. Vamp à l’occasion, elle aurait pu inspirer Marcel Duchamp pour peu qu’un escalier fût à sa portée. Dessinateur au graphisme sublime, Christian Lacroix sait jouer du déploiement singulier des contours d’Alice, faisant songer aux dessins de Saül Steinberg. Il n’illustre pas Alice, il recrée Alice. Le lecteur sent une double lecture concupiscente. L’insolente liberté de la belle s’accoutume de nostalgie amoureuse… » |
À mots couverts, À demi-mot, Au bas mot - retour haut de page
« Au café Central de Vienne, on peut toujours croiser Peter Altenberg, éternisé dans le bronze, attendant ses commensaux habituels, Karl Kraus, Arthur Schnitzler, Gustav Klimt, Hermann Bahr, devant une table, comme Fernando Pessoa au café A Brasileira à Lisbonne. Oisif par vocation, pauvre par dédain des contingences, satiriste par dégoût de l’hypocrisie, l’écrivain autrichien a passé sa vie dans les cafés, sans jamais payer une addition. […] Dans ce petit livre, Alfred Eibel a choisi, traduit et annoté les aphorismes et les esquisses viennoises les plus représentatifs de ce contemporain de la décadence délicieuse de l’Empire austro-hongrois. » |
L’Anti-Brecht - retour haut de page
La cuisine de D’Artagnan (II) - retour haut de page
« Allez vite chez votre libraire faire l'emplette de la Cuisine de d'Artagnan, ce savoureux recueil, et vous saurez quoi préparer à vos amis. » |
« 60 recettes extraites du livre d'Alexandre Dumas, revisitées pour être préparées avec les produits actuels (...) et un vin conseillé pour accompagner le plat. » |
« Ce livre est une excellente introduction à l'oeuvre gourmande du romancier. » |
« (...) Nombreuses illustrations et des annexes comportant notamment les adresses des producteurs de vin. Un livre de cuisine... littéraire, à lire avant de se mettre aux fourneaux. » |
« Tentation a bien aimé la présentation de ce livre avec la recette originale sur la page de gauche et conseils sur les vins recommandés. » |
« J. Ury a eu la bonne idée d'en réactualiser une soixantaine. Chacune des recettes originelles de Dumas est mise en regard d'une version modernisée... » |
« Chacune (des recettes) est accompagnée par l'indication du vin qui lui convient. (...) C'est même un domaine où l'auteur excelle particulièrement. » |
« Sur ces six mignons filets, les papilles affûtées de l'auteur nous orientent vers un "côtes de Blaye" 2000, pas n'importe lequel, celui du vignoble Germain. Mariage parfait. » |
« J. Ury a noté, pour chaque plat, le vin le plus opportun. Pour cela les indications sont très précises : l'appellation et le producteur sont désignés. De plus, le vin a droit à un large commentaire. » |
« (...) la version remaniée sur la page droite, avec le vin qui l'accompagne le plus harmonieusement, soit pour la préparation, soit pour la dégustation. » |
Lettres de Dupuis et Cotonet - retour haut de page
« Les deux amis soufflent le chaud et le froid, s’interrogent sur le métier de journaliste, sur la liberté, sur les abus de pouvoir, sur le vocabulaire, sur les contorsions de la terminologie. Qui croire ? A quoi s’accrocher devant la multiplication des points de vue ? Faut-il faire siennes les pâles idoles de notre temps ou rester accoté au passé ? Ce qui est ici mis en cause, c’est l’idéologie, au sens large du mot. |
« Ces lettres, adressées à la Revue des deux mondes, ne furent réunies en volume qu’en 1876. |
« Cet opuscule d’Alfred de Musset […] oppose deux personnages, en fait deux amis, qui enquêtent sur la société qui les entoure. Ils se veulent de leur temps, c’est-à-dire le XIXe siècle, qui est celui des véritables débuts de la presse d’information… » |
« Deux compères aussi médiocres qu’insuffisants se lancent à la conquête de la presse et du pouvoir avec la maestria ( !) de Bouvard et Pécuchet. Après la brillante préface de Michel Mourlet, c’est un régal. » |
« Un formidable révélateur de la situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui. » |
L’Arbre à tiroirs - retour haut de page
« Il aurait souhaité faire de son enfance une autre aventure. Adulte, il décide de prendre son destin en main, devenant son propre guerrier, assumant sa différence. Plus de faux liens avec une famille qu’il n’a pas choisie, plus d’engagement, plus de balades sur la crête de raisonnements douteux capables de gripper la logique la plus élémentaire. La sagesse veut que l’on ne se retourne pas sur les souvenirs anciens. Ne pas se plaindre, ne pas se laisser inféoder, quelle que soit la cause, aller de l’avant vers la liberté absolue. Rester malicieusement dans son univers. Tel pourrait être le sens que l’auteur a voulu donner à ce roman très objectif. » |
« Ce qui apparaissait simple devient très compliqué, très ambigu, comme la vie même. Il y avait là la matière à un roman de 1000 pages, et peut-être plus. Jack Forget, adepte de la forme concise (tels les classiques français ou les romantiques allemands), dit tout en peu de mots et laisse apercevoir les gouffres. » |
« Paris le protège, le fait rêver, l’extrait de son univers sinistre » : le petit Paul, 11 ans, aime à déambuler dans ce Paris des années 1950. Avide de rencontres des plus aléatoires dans les quartiers populaires, il vend des fleurs aux Halles ou à Montparnasse et devient la mascotte des « filles de joie ». |
« L’évidence d’un style narratif sans apprêts qui est comme l’humilité qu’il sied à la littérature de se revêtir lorsque la matière qu’elle traite avec une sorte de déférente sollicitude, resplendit déjà en elle-même de l’éclat de sa densité. Entre Drouot et les Halles, la Coupole et le dix-septième, nous imaginons comme si nous y étions (et, peut-être, d’une certaine manière, avant de s’incarner nos mânes repéraient-elles déjà les lieux), ce poulbot des années cinquante, autodidacte en sa chair, en son âme et qu’à l’inverse d’une bonne part de la jeunesse actuelle, on pouvait laisser livré à lui-même puisque l’environnement, comme de source, permettait à tout un chacun, et même aux plus orphelins, de saisir son identité. » |
« Il y avait là la matière à un roman de 1 000 pages, et peut-être plus. Jack Forget, adepte de la forme concise (tels les classiques français ou les romantiques allemands), dit tout en peu de mots et laisse apercevoir les gouffres. » |
« Le petit Paul, onze ans, aime à déambuler dans ce Paris des années 1950. Avide de rencontres des plus aléatoires dans les quartiers populaires, il vend des fleurs aux Halles ou à Montparnasse et devient la mascotte des ‘ filles de joie ‘. […] Et puis, surtout, il y a cette mère qui ne l’aime pas ; et cette absence totale de souvenir de ses dix premières années, 1944-1954. Quel secret a-t-on voulu étouffer en lui ? » |
« C’est un homme dans la force de l’âge qui aimerait bien se souvenir de son enfance. Mais les images se bousculent et ne reviennent qu’au compte-goutte. Il pense à Lise, sa petite sœur, à Jean, son père si faible, perdu, fils adultérin à la recherche d’une famille qui ne veut pas de lui, ou encore à Irène, sa mère, à Célestine, grand-mère adorée, à Trouville où les bateaux de pêche s’enfoncent à marée basse . Les sentiments sont flous comme si toucher l’enfance suffisait à la faire fuir. » |
" Rester malicieusement dans son univers. Tel pourrait être le sens que l’auteur a voulu donner à ce roman très objectif. " |
Français mon beau souci - retour haut de page
Gageons qu’un jour, dans un avenir plus ou moins proche, on demandera cet ouvrage en disant, « Donnez-moi le Mourlet » ; comme on dit « Donnez-moi le Grevisse ». |
Écrivains de France, XXe siècle - retour haut de page
« Admirables pages sur Déon, sur Fraigneau, sur Gaxotte, sur Montherlant... » |
« Tout en finesse et en vigueur, avares de grands mots et d’adjectifs, ces portraits évoquent la pureté élégante des dessins d’Ingres et nous incitent à ce vice impuni : la relecture. » |
« Un panorama du XXe siècle littéraire qui brille d’abord par l’excellence de son style, mais aussi par la liberté de son ton. Essentiel. » |
« Michel Mourlet est un parfait maître de maison. […] Le menu est à l’avenant : Portraits savoureux, anecdotes croustillantes. » |
« On devine sa gourmandise à écrire « de France » après ses « écrivains ». Et on la reconnaît lorsqu’on lit ou relit ses évocations d’Anouilh et de Bernanos de Guitry, de Toulet et de Romains, de Valéry et de Judrin. Oui, très « qualité France », Mourlet. Qualité supérieure, même. On ne vous apprend rien. » |
« Beau pavé érudit, fin et roboratif, où l’on retrouve Béraud, Cocteau, Fraigneau, Dupré, Suarès, l’admirable Jacques Perret et notre ami Michel Déon, à qui l’ouvrage est dédié. » |
« Près de cinquante années de critiques n’ont pas affaibli chez Michel Mourlet une réjouissante capacité d’admiration, à laquelle se reconnaissent les âmes généreuses. […] Comme en plus, Mourlet n’a rien abdiqué de son insolence (voir le Temps du refus, critique impitoyable de l’imposture moderniste) et qu’il ne manque pas d’humour, ses Écrivains de France se révèlent une somme appelée à durer. » |
« D’une écriture simple, précise, ciselée et élégante, […] Écrivains de France, XXe siècle est l’ouvrage d’un grand critique littéraire aussi profond dans ses analyses qu’honnête dans ses jugements. » |
Le Jardin du Paradigme - retour haut de page
« Autour d’André Le Nôtre (1613-1700), Michel Mourlet présente le texte complet du scénario dialogué d’un long métrage de docu-fiction intitulé l’Ordre vert. Page de gauche, ses commentaires ; page de droite, la mise en scène et les dialogues. L’ensemble à la manière de Pirandello. Les personnages, s’ils ne sont pas en quête d’auteur, n’en mélangent pas moins la part des comédiens avec les commentaires de l’auteur, proche de Fontenelle, par qui tout s’explique avec les lumières de la raison. Mourlet en profite pour réunir des extraits de ses œuvres précédentes. Elles tournent autour de l’axe représenté par l’idée de jardin, Louis XIV et Le Nôtre. Il ajoute que Le Nôtre est « une sorte de Michel-Ange rustique, ample, divers, profond et simple », qui sait faire rimer les éléments de la nature. » |
Péril en la demeure - retour haut de page
« Les ouvrages consacrés à la langue française, à sa défense et à sa promotion ne manquent pas. Qu’un Américain à son tour s’intéresse à la question parce qu’il manie le français comme sa langue maternelle et qu’il l’aime, voilà qui est passionnant et R-J. Berg n’a sans doute pas fini de nous intriguer. Son livre est passionnant et se lit comme un roman policier. » |
«L’anglais, selon lui, est un cheval de Troie qu’une clique de compradores pousse en avant. Une langue doit évoluer, mais pas n’importe comment. N’a-t-on pas reproché voilà plusieurs dizaines d’années à Montherlant d’avoir écrit « foot » au lieu de football ! Toute phrase, tout paragraphe a sa musique propre. S’il faut en croire Berg, pas de meilleure recette pour apprivoiser le français que de beaucoup lire, et les meilleurs auteurs si possible. […] |
«De toutes les immigrations, celle qui nous vient d’Amérique du Nord et particulièrement des États-Unis, est la plus francophile. R-J. Berg publie Péril en la demeure, sous-titré Regards d’un Américain sur la langue française. Attention : je n’utiliserai pas cette sotte expression : |
Pièces masquées - retour haut de page
« Un festival qui vaudrait bien celui d’Avignon, un feu d’artifice digne d’un 14 juillet. Michel Mourlet croit en l’éternel retour, aux situations qui reviennent à travers les siècles, les mêmes choses mais par un autre chemin. Des sentiments, des passions, ce jeu de masques dont il connaît les règles. Du théâtre mettant en scène la vie dans un grand éclat de rire. Pourtant l’auteur nous explique, dans ses commentaires, au fil de ses pièces, les difficultés rencontrées pour faire jouer son art qu’il maîtrise à la perfection. » |
Instants Critiques - retour haut de page
«Depuis bientôt cinquante ans, Michel Mourlet ferraille sans faiblir contre l’imposture aux mille faces ou, pour le citer, contre « la conjuration des trois T : Trissotin, Tartuffe et Torquemada ». Dès la fin des années 50, cet écrivain amateur de théâtre et de cinéma – théoricien, dans Présence du cinéma, du courant dit mac-mahonien – livre ses premières escarmouches contre une avant-garde vénéneuse avant d’être obsolète. Sous le titre générique Le Temps du refus, trois recueils d’essais ont paru depuis 1976, L’Éléphant dans la porcelaine (La Table ronde), Crépuscule de la modernité et La Guerre des idées (Trédaniel), qui tous trois mettent en pièces les erreurs à la mode avec autant d’esprit que d’opiniâtreté. |
« Instants critiques, le Temps du refus, achève un cycle commencé avec l’Éléphant dans la porcelaine (1976), puis continué avec Crépuscule de la modernité (1989) et la Guerre des idées (1993), où est pourfendue la « politique culturelle » à l’œuvre depuis trente-cinq ans. Opposé au progressisme bourgeois, au nom d’un traditionalisme populaire exigeant, Mourlet stigmatise, notamment, le non-art contemporain, passé de la rupture à l’académisme , Bouvard, Pécuchet et le suffrage universel et l’Histoire à l’américaine. » |
« Malgré le rabâchage permanent, malgré l’arrogance d’élites sclérosées, le bon sens et le goût, naguère diabolisés, refont surface. Même s’il faudra des décennies pour décontaminer le paysage culturel, les saturnales de l’esprit ont pris fin. Conscient avec Renan que « L’homme ne s’improvise pas », Mourlet démonte avec brio l’idéologie de la table rase qui fonda cette révolte nihiliste contre le vrai et le beau. Depuis quelques années, une réaction se dessine sous nos yeux avec Jean Clair, Philippe Muray, Jean-François Mattéi, Eric Werner, bien d’autres encore. N’oublions jamais que, avec Le Temps du refus, Mourlet aura préparé cette renaissance intellectuelle et morale. Salut au pionnier ! » |
Vivre et mourir pour la Provence - retour haut de page
Deux précisions biographiques sur José Mange :« José Mange fut très lié à l’école des poètes fantaisistes, comme le rappelle son biographe Christian Puech (…). À ceux qui ne connaissaient de lui que quelques toiles, l’exposition toulonnaise - en octobre-novembre 2003 - est une véritable révélation, dont l’éblouissante richesse (de palette, de lumière, de matière, de paysages…) devrait attirer tous les authentiques amoureux de la peinture. » |
« José Mange s’était marié à cinquante ans avec une jeune fille de plus de trente ans sa cadette, qui a confié ses souvenirs à C. Puech, lequel a construit à jamais la légende de José Mange dans ce magnifique ouvrage… » |
Paul Dardé - retour haut de page
Deux réactions du pays profond :« Ce livre se lit comme un roman passionnant, complet, révélateur et parfaitement véridique, ce qui ne gâte rien. J’ai été bouleversée. On nous avait caché (…) la vie héroïque de cet artiste humaniste injustement ‘maudit’ par quelques intolérances dictatoriales.( …] Dans ce beau livre on voit défiler la grandeur et la médiocrité de notre siècle, entre le Languedoc, Paris et le Causse du Larzac. (…) C’est dire l’intérêt, l’actualité et la rareté de cet ouvrage… Un magnifique cadeau de Noël. » |
«Un livre d’actualité, peut-être pour mille ans. » |
Les Maux de la langue - retour haut de page
« L’auteur analyse avec précision et ironie plus de 400 mots, expressions ou tournures dans l’air du temps. » |
« L’ouvrage attire notre attention sur les traquenards qui nous attendent et que n’évitent pas toujours les académiciens. » |
« À la radio et à la télé, ils parlent le dialecte de la technostructure yankee qui se mâchonne, chez les prolos comme chez les proprios. Michel Mourlet ne supporte ni leurs débagoulis ni leurs borborygmes. Il est trop amoureux de la langue pour tolérer que les barbares de l’intérieur fassent souffrir le martyre au français. » |
« À chacun, Mourlet assène son paquet, magistralement expédié, avec autant d’élégance que de bien-fondé. » |
« … Michel Mourlet oppose aux mille violences quotidiennes faites au français l’arsenal du juste langage éclairé d’un humour acerbe. » |
« Michel Mourlet est notre Jimini Cricket, notre conscience linguistique. L’ironie en plus. » |
Discours de la langue - retour haut de page
Quelques appréciations recueillies en 1985 par les Ėditions Loris Talmart sur les rabats de couverture d’un ouvrage ultérieur :
« Je l’ai lu d’un trait. Il le mérite. Voilà un nouveau Rivarol. » |
« Discours qui s’imposait. Brièvement, tout est dit, et sur le fond surtout. » |
« Puisse l’appel de Michel Mourlet être le signal d’une renaissance. » |
« Superbe d’intelligence et de concision. » |
« Ce Discours est le bienvenu. |
« Ceux qui s’intéressent encore à la pureté de la langue française liront avec délectation (ce) petit livre… » |
« Parler, si bien, d’un sujet si important pour nous tous. » |
« À l’heure où nos chercheurs sont contraints de rédiger leurs comptes rendus en anglais, le Discours de la langue indique aux Français (…) qu’il faut maintenant traiter ces questions sans esprit de recul. » |
« Michel Mourlet pose la seule véritable question : celle des enjeux d’une telle bataille. » |
« Lucide plaidoyer en faveur du français. » |
« Merci de juger aussi juste, de voir aussi loin, et de refuser l’indolence. » |
« Une cinquantaine de pages, mais d’une robustesse éclatante. » |
Autobiographie de Simon Segal - retour haut de page
« Simon Segal n’est pas un peintre ‘à la mode’. Lui qui, à une certaine époque, a été tenté par la peinture non figurative et a eu la lucidité et le courage de s’en écarter, quel mauvais exemple et quel mauvais élève ! Ce franc-tireur connaît pourtant un sort plus enviable que les peintres officiels : son œuvre suscite la ferveur de ceux qui voient clair dans le présent, c’est-à-dire dans l’avenir. » (Suivent 2 pages entières, format demi-quotidien, d’extraits de l’ Autobiographie assortis de commentaires.) |
L’Énigme du Monte Verita - retour haut de page
« Török mène tout son petit monde en bateau avec une rare maestria dans un roman qui, entre pastiche et pamphlet, propose une éblouissante réflexion sur les pouvoirs de l’illusion. » |
« Accumulant avec habileté un nombre important de détails, le romancier crée une atmosphère de mystère, laissant planer une menace… » |
« Török renforce son récit en y instillant une dose non négligeable d’érudition, établissant des rapprochements avec l’Histoire, comme si le présent en train de se construire n’était qu’une répétition de ce qui fut conçu pour le malheur des nations. » |
L’Ordre vert - retour haut de page
« Laudateur du Château de Versailles comme lieu central, à la fois étatique et symbolique, exemplifiant le classicisme du Grand Siècle, Michel Mourlet n’en critique pas moins la « géométrie botanique » et la « domestication de la nature » du jardin. Il en profite également pour pourfendre la société de connivence actuelle, le faux art contemporain subventionné (le Festival d’Avignon, etc.) et la dictature du « fric ». Un film intelligent et corrosif. » |
Le Peuple des miroirs - retour haut de page
« Témoin et acteur bouleversé de la désespérance moderne, décrite sans détour et sans fard du milieu des années 1970 à celui ds années 1980, en un temps où les impératifs insistants de la jouissance sans entraves commençaient à se changer en grimaces vociférantes et en fausses paroles… » |
« À l’écart de la critique littéraire maligne, de la hâblerie, loin de la critique accusatrice à la Vychinski, Jean-Pierre Martinet se mêle à la matière d’un livre, en rend compte, en parle comme d’un conte de Perrault. » |
Ėclat et Fragilité de la langue française - retour haut de page
Un jour au Palais d'Été - retour haut de page
L'auteur : " Un auteur quasi nonagénaire, dans ce livre ample, foisonnant, maîtrisé, se révèle d'une jeunesse sans pareille. " POL VANDROMME , La Semaine (Belgique). |
Le propos : " Une sorte de comédie humaine sous le soleil du midi. " JEAN-CLAUDE LAMY, ![]() |
La technique : " Un tour de force qui se dissimule sous l'exceptionnelle clarté du récit. " JEAN-PAUL TÖRÖK, La Une. |
La maîtrise : " À quatre-vingt-six ans révolus, l'homme prouve qu'il continue de manier magistralement cet instrument de précision. " BERNARD LE SAUX, ![]() |
L'œil du peintre : " Rien ne lui échappe, pas même un battement de cils. " ALFRED EIBEL,![]() |
Le décor : " Un roman extraordinaire (…) qui nous fait palper l'atmosphère méditerranéenne, le souffle paisible de la mer… " P. FOURNIER, ![]() |
La férocité : " La contemplation des mollets mous des vacanciers (…) donne des envies de meurtre… " ![]() |
Vu de province : " On suit le déroulement des événenements avec délices. " La Gazette Berrichonne. |
Le Comte Boissy d'Anglas - retour haut de page
L'ancien ministre Alice Saunier-Seïté publie la première biographie du conventionnel Boissy d'Anglas.![]() |
La Une : " Talleyrand, Fouché ont laissé eux aussi une image ambiguë, où l'on démêle difficilement l'intérêt personnel et le service de la France à travers ses métamorphoses successives. Alice Saunier Seïté ne tranche pas vraiment, mais offre à son héros le bénéfice du doute. Il a traversé tous les régimes avec une prudence qui ressemble à de la sagesse et, semble-t-il, un attachement à la liberté au-delà des opinions et des principes réducteurs. " |
" L'académicien des Sciences morales et politiques cerne un personnage énigmatique… " ![]() |
L'Action Française : " Au-delà de Boissy, le livre de Mme Saunier-Seïté présente un grand intérêt car il donne un excellent reflet de l'état d'esprit d'une grande partie de la bourgeoisie du XVIIIe siècle finissant, pressée de remplacer la noblesse, nourrie d'idées dites nouvelles à tel point que, pour citer Boissy lui-même, 'la Révolution était déjà dans toutes les têtes' avant même les Etats généraux de 1789. " |
La Télévision ou le Mythe d'Argus - retour haut de page
" Le mérite du Mythe d'Argus est de rappeler qu'il y eut en France une télévision de qualité. " ![]() |
" Michel Mourlet dissèque le '8e Art', construisant une remarquable théorie du phénomène télévision. " ![]() |
" Les différences fondamentales entre cinéma et télévision (où le rapport son-image est inversé) sont magistralement élucidées. " ![]() |
La Une : " Nostalgique de l'O.R.T.F. et de l'utopie du 8e Art, l'auteur étudie (…) la possibilité de restituer au médium d'aujourd'hui son ancien statut de moyen d'expression. " |
Les Écrits de l'image : " S'il faut reconnaître un immense mérite au contenu de la Télévision ou le Mythe d'Argus, c'est bien celui de militer pour une télévision en prise avec les traditions nationales, dont la nôtre au premier chef. Face à l'hégémonie américaine d'un côté, et à la médiocrité institutionnalisée de l'autre, une télévision française et authentiquement différenciée doit être le modèle à préconiser. " |
![]() |
Cet ouvrage entend rappeler la raison d'être originelle des 'étranges lucarnes' (…) et proposer quelques motifs de n'en pas désespérer totalement. |
Pourquoi Chevènement - retour haut de page
L'Action Française : " Un réquisitoire à deux voix contre l'abdication de la France au sein d'un magma européen, car " la souveraineté nationale, ce n'est rien d'autre que la liberté, notre liberté à tous ". Cette abdication s'apparente à un " mystérieux échouage de baleines sur le rivage bruxellois ". (…) Une brochure dont la substance dépasse largement l'échéance présidentielle. " |
Rasteau - retour haut de page
Vin doux naturel et Recettes gourmandes
" Les recettes originales imaginées par Jacqueline Ury, journaliste spécialisée dans la gastronomie, révèlent les harmonies savoureuses. " ![]() |
L'Écho du Centre : " J. Ury se signale régulièrement par la qualité de ses recherches et le goût qu'elle cherche à faire partager pour la grâce teintée de rusticité affective qu'apportent ses cuisines de tradition affirmée. " |
Le Progrès de Lyon : " Un étonnant livret sur l'alliance mets-vin. " |
La Marseillaise : " Des recettes à garder à portée de main dans toutes les cuisines. " |
" En moins de cent pages, on se régale par avance d'une évocation savoureuse qui transfigure la sincérité du terroir. "![]() |
La Provence : " Une idée judicieuse qui séduira un large public. " |
" Pour les amoureux des gourmandises solides aussi bien que liquides… " ![]() |
" Un ouvrage de référence. " ![]() |
" A chacun de découvrir ces compositions entre le Rasteau doré ou rouge et ces plats familiaux, gastronomiques, astucieux ou inattendus. " ![]() |
![]() |
La Revue du Vin de France : " Il convient de signaler l'élégance de la maquette et de la mise en page. " |