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France Univers

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Presse

La presse en parle

« Alice se veut comète, enfant prodige. Elle connaît son corps sur le bout des doigts, tâte ses attaches, ses jointures, ses saillies. Alice, grande amoureuse, prête à se défaire d’invisibles bandelettes. Alice, one woman show du désir. Bergère légère. Surprenante par ses audaces, intemporelle, et pourtant fille de notre temps, aussi insuffisamment appliquée que le fut le marquis de Pomponne. Francis Coulon la scrute sous ses différents aspects, la rend sensuelle, voluptueuse, dans une prose distinguée que n’aurait pas désavouée Madeleine de Scudéry. Alice tourbillonne, se roule et s’enroule, se pelotonne, les yeux rivés au ciel. Vamp à l’occasion, elle aurait pu inspirer Marcel Duchamp pour peu qu’un escalier fût à sa portée. Dessinateur au graphisme sublime, Christian Lacroix sait jouer du déploiement singulier des contours d’Alice, faisant songer aux dessins de Saül Steinberg. Il n’illustre pas Alice, il recrée Alice. Le lecteur sent une double lecture concupiscente. L’insolente liberté de la belle s’accoutume de nostalgie amoureuse… »
A.E. Service littéraire, avril 2013

« Au café Central de Vienne, on peut toujours croiser Peter Altenberg, éternisé dans le bronze, attendant ses commensaux habituels, Karl Kraus, Arthur Schnitzler, Gustav Klimt, Hermann Bahr, devant une table, comme Fernando Pessoa au café A Brasileira à Lisbonne. Oisif par vocation, pauvre par dédain des contingences, satiriste par dégoût de l’hypocrisie, l’écrivain autrichien a passé sa vie dans les cafés, sans jamais payer une addition. […] Dans ce petit livre, Alfred Eibel a choisi, traduit et annoté les aphorismes et les esquisses viennoises les plus représentatifs de ce contemporain de la décadence délicieuse de l’Empire austro-hongrois. »
Bruno de Cessole. Valeurs Actuelles, 19 juin 2014

« Après avoir lu Mourlet, je pourrais me demander s’il a mieux rendu la justice par sa joyeuse fustigation de Brecht, ou par sa réflexion, si pertinente, sur la nature du théâtre. En fait, on comprend à le lire, combien ces deux éléments sont d’une exigeante complémentarité, et je n’en tiens donc que davantage au titre de mon commentaire : Brecht ou l’anti-théâtre, que je consacre expressément à ma reconnaissance envers Michel Mourlet. »
Philippe Champion, Le Monde de l’Art et des Lettres, Février 2011

« Donnons le coup de grâce à des écrivains surestimés. Michel Mourlet s’y emploie avec talent, conviction et rigueur. Profitons de la chute du mur de Berlin pour déboulonner cette gloire du théâtre communiste devant laquelle les Français béaient d’admiration. »
A. Eibel, Service Littéraire, Juillet-Août 2010

« Michel Mourlet s’appuie sur des exemples et sur de nombreux témoignages pour dénoncer la supercherie du grand homme. Référons-nous à sa brochure si l’on se passionne pour le théâtre, son passé ou son avenir. »
Valeurs Actuelles, 6 mai 2010

« Dans son livre, l’Anti-Brecht, Michel Mourlet, avec intelligence et acuité, explique combien la fameuse « distanciation » et, plus généralement, l’influence de ce grand homme d’Allemagne de l’Est a été néfaste pour le théâtre. Heureusement, dit-il, la baudruche s’est dégonflée et « l’idole Bretch est tombée de son piédestal ». Mourlet a raison. »
Jean-Luc Jeener. Le Figaro Magazine, 21 mai 2010

« Il y a d’abord, et c’est certainement la partie la plus importante du livre, une réflexion fondamentale sur le théâtre, qui est le pendant de celle qu’il a développée sur le cinéma dans Sur un art ignoré. D’ailleurs Mourlet, avec la rigueur démonstrative qui le caractérise, ne manque pas de les comparer pour la clarté de l’exposé […] On lui saura également gré de refuser la « hiérarchisation des genres », cette plaie bien française qui empêche de s’apercevoir que le théâtre dit de boulevard peut-être aussi fort que celui des établissements nationaux. D’où sa haine du « brechtisme », ce totalitarisme qui, quelques décennies durant, a terrorisé la scène française, au point qu’avouer son goût pour les pièces d’Anouilh ou de Montherlant était quasiment passible de l’indignité internationale ! On en est heureusement revenu, et Mourlet est évidemment fondé à être le premier à s’en réjouir, lui qui a été l’un des premiers à lui résister. Mais il n’était assurément pas superflu de le rappeler. »
M. Marmin, Éléments

« Une lecture d’autant plus stimulante que l’ouvrage est complété par de superbes portraits d’hommes de théâtre. Ceux de Dullin et de Jouvet nous ont particulièrement impressionné. »
M.M. (Michel Marmin), Ėléments

« On lira avec profit la critique du dernier essai de Michel Mourlet sur Brecht. Mourlet se déguise en entrepreneur de démolitions. Il organise la mise à bas de cette vieille idole stalinienne surestimée, que seul le génie de Vilar a pu faire passer un moment pour autre chose qu’un raseur doublé d’un balourd. « Médiocrité stylistique », « théâtre sans nuances et sans subtilités », « ennui profond de cette prose », les langues se délient enfin chez les metteurs en scène, les critiques et les traducteurs, mais il aura fallu du temps. Mourlet venge aussi des générations d’étudiants et de lycéens qui ont du subir comme une purge la lecture de Mère Courage, d’Arturo Ui, ou des grandeurs et misères du Troisième Reich. Rien que pour cela, nous chanterons à tue tête : Vive Michel Mourlet, ma mère, vive Michel Mourlet !… »
Eugène Charles, La Revue critique des idées et des livres

« Michel Mourlet, avec intelligence et acuité, explique combien la fameuse « distanciation » et, plus généralement, l’influence de ce grand homme d’Allemagne de l’Est a été néfaste pour le théâtre. Heureusement, dit-il, la baudruche s’est dégonflée et ‘ l’idole Brecht est tombée de son piédestal ‘. Mourlet a raison. »
Jean-Luc Jeener, Le Figaro

« Donnons le coup de grâce à des écrivains surestimés. Michel Mourlet s’y emploie avec talent, conviction et rigueur. »
A.E., Service littéraire

« Allez vite chez votre libraire faire l’emplette de la Cuisine de d’Artagnan, ce savoureux recueil, et vous saurez quoi préparer à vos amis. »
Franche Contrée, n° 12

« 60 recettes extraites du livre d’Alexandre Dumas, revisitées pour être préparées avec les produits actuels (…) et un vin conseillé pour accompagner le plat. »
Pariscope, 5 mars 2003

« Ce livre est une excellente introduction à l’œuvre gourmande du romancier. »
Thuriès Magazine Gastronomique, mai 2003

« (…) Nombreuses illustrations et des annexes comportant notamment les adresses des producteurs de vin. Un livre de cuisine… littéraire, à lire avant de se mettre aux fourneaux. »
La Marseillaise, 8 avril 2003

« Tentation a bien aimé la présentation de ce livre avec la recette originale sur la page de gauche et conseils sur les vins recommandés. »
Tentation Nationale 7, Printemps 2003

« J. Ury a eu la bonne idée d’en réactualiser une soixantaine. Chacune des recettes originelles de Dumas est mise en regard d’une version modernisée… »
Valeurs Actuelles, 28 mars 2003

« Chacune (des recettes) est accompagnée par l’indication du vin qui lui convient. (…) C’est même un domaine où l’auteur excelle particulièrement. »
Le Caviste indépendant, n° 42

« Sur ces six mignons filets, les papilles affûtées de l’auteur nous orientent vers un « côtes de Blaye » 2000, pas n’importe lequel, celui du vignoble Germain. Mariage parfait. »
Le Sillon (Limoges), avril 2003

« J. Ury a noté, pour chaque plat, le vin le plus opportun. Pour cela les indications sont très précises : l’appellation et le producteur sont désignés. De plus, le vin a droit à un large commentaire. »
La Revue du vin de France, mai 2003

« (…) la version remaniée sur la page droite, avec le vin qui l’accompagne le plus harmonieusement, soit pour la préparation, soit pour la dégustation. »
Infosvin (Internet), mars 2003

« Les deux amis soufflent le chaud et le froid, s’interrogent sur le métier de journaliste, sur la liberté, sur les abus de pouvoir, sur le vocabulaire, sur les contorsions de la terminologie. Qui croire ? A quoi s’accrocher devant la multiplication des points de vue ? Faut-il faire siennes les pâles idoles de notre temps ou rester accoté au passé ? Ce qui est ici mis en cause, c’est l’idéologie, au sens large du mot.
Ce petit livre, brillamment préfacé par Michel Mourlet, est un formidable révélateur de la situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui. »
A. Eibel, Valeurs Actuelles, 10 mars 2011

« Ces lettres, adressées à la Revue des deux mondes, ne furent réunies en volume qu’en 1876.
Censément écrites par deux bons bourgeois de La Ferté-sous-Jouarre qui entreprennent sous la Monarchie de Juillet une enquête sur la société de leur temps, elles préfigurent la curiosité boulimique de Bouvard et Pécuchet. Armés de leur naïveté et de leur bon sens, Dupuis et Cotonet découvrent autour d’eux une foule d’absurdités, de cocasseries et de comportements déplorables qui continuent à sévir de nos jours. L’actualité de la satire est surprenante : motif de l’urgence qu’il y avait à la replacer sous les yeux des Français de 2010. »
Agence EIPA

« Cet opuscule d’Alfred de Musset […] oppose deux personnages, en fait deux amis, qui enquêtent sur la société qui les entoure. Ils se veulent de leur temps, c’est-à-dire le XIXe siècle, qui est celui des véritables débuts de la presse d’information… »
La Gazette de la presse francophone

« Deux compères aussi médiocres qu’insuffisants se lancent à la conquête de la presse et du pouvoir avec la maestria ( !) de Bouvard et Pécuchet. Après la brillante préface de Michel Mourlet, c’est un régal. »
Service littéraire

« Un formidable révélateur de la situation dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui. »
A.E., Valeurs Actuelles

« Il aurait souhaité faire de son enfance une autre aventure. Adulte, il décide de prendre son destin en main, devenant son propre guerrier, assumant sa différence. Plus de faux liens avec une famille qu’il n’a pas choisie, plus d’engagement, plus de balades sur la crête de raisonnements douteux capables de gripper la logique la plus élémentaire. La sagesse veut que l’on ne se retourne pas sur les souvenirs anciens. Ne pas se plaindre, ne pas se laisser inféoder, quelle que soit la cause, aller de l’avant vers la liberté absolue. Rester malicieusement dans son univers. Tel pourrait être le sens que l’auteur a voulu donner à ce roman très objectif. »
A. Eibel, Valeurs actuelles, 16 septembre 2010

« Ce qui apparaissait simple devient très compliqué, très ambigu, comme la vie même. Il y avait là la matière à un roman de 1000 pages, et peut-être plus. Jack Forget, adepte de la forme concise (tels les classiques français ou les romantiques allemands), dit tout en peu de mots et laisse apercevoir les gouffres. »
M. Marmin, Éléments, avril-juin 2011

« Paris le protège, le fait rêver, l’extrait de son univers sinistre » : le petit Paul, 11 ans, aime à déambuler dans ce Paris des années 1950. Avide de rencontres des plus aléatoires dans les quartiers populaires, il vend des fleurs aux Halles ou à Montparnasse et devient la mascotte des « filles de joie ».
Mais cette quête d’amitiés nouvelles et sincères ne trahit-elle pas une envie de fuir ? L’enfant butine de petits bonheurs passagers entre ses rues de Paris et le pauvre jardin de ses vacances en Normandie, mais fondamentalement il n’est pas heureux. Le monde des adultes est trop hypocrite et injuste. Et puis, surtout, il y a cette mère qui ne l’aime pas ; et cette absence totale de souvenir de ses dix premières années, 1944-1954. Quel secret a-t-on voulu étouffer en lui ?
Entre tendresse et acidité, un roman du désenchantement.
La Manche libre, 4 décembre 2010

« L’évidence d’un style narratif sans apprêts qui est comme l’humilité qu’il sied à la littérature de se revêtir lorsque la matière qu’elle traite avec une sorte de déférente sollicitude, resplendit déjà en elle-même de l’éclat de sa densité. Entre Drouot et les Halles, la Coupole et le dix-septième, nous imaginons comme si nous y étions (et, peut-être, d’une certaine manière, avant de s’incarner nos mânes repéraient-elles déjà les lieux), ce poulbot des années cinquante, autodidacte en sa chair, en son âme et qu’à l’inverse d’une bonne part de la jeunesse actuelle, on pouvait laisser livré à lui-même puisque l’environnement, comme de source, permettait à tout un chacun, et même aux plus orphelins, de saisir son identité. »
Hubert de Champris, blogue « la Vie littéraire », 4 décembre 2010

« Il y avait là la matière à un roman de 1 000 pages, et peut-être plus. Jack Forget, adepte de la forme concise (tels les classiques français ou les romantiques allemands), dit tout en peu de mots et laisse apercevoir les gouffres. »
M.M., Ėléments

« Le petit Paul, onze ans, aime à déambuler dans ce Paris des années 1950. Avide de rencontres des plus aléatoires dans les quartiers populaires, il vend des fleurs aux Halles ou à Montparnasse et devient la mascotte des ‘ filles de joie ‘. […] Et puis, surtout, il y a cette mère qui ne l’aime pas ; et cette absence totale de souvenir de ses dix premières années, 1944-1954. Quel secret a-t-on voulu étouffer en lui ? »
La Manche libre

« C’est un homme dans la force de l’âge qui aimerait bien se souvenir de son enfance. Mais les images se bousculent et ne reviennent qu’au compte-goutte. Il pense à Lise, sa petite sœur, à Jean, son père si faible, perdu, fils adultérin à la recherche d’une famille qui ne veut pas de lui, ou encore à Irène, sa mère, à Célestine, grand-mère adorée, à Trouville où les bateaux de pêche s’enfoncent à marée basse . Les sentiments sont flous comme si toucher l’enfance suffisait à la faire fuir. »
Stéphanie des Horts, Le Magazine des livres

« Rester malicieusement dans son univers. Tel pourrait être le sens que l’auteur a voulu donner à ce roman très objectif. »
Valeurs Actuelles

Gageons qu’un jour, dans un avenir plus ou moins proche, on demandera cet ouvrage en disant, « Donnez-moi le Mourlet » ; comme on dit « Donnez-moi le Grevisse ».
A. Eibel, Valeurs Actuelles, 16 juillet 2009

« Admirables pages sur Déon, sur Fraigneau, sur Gaxotte, sur Montherlant… »
Pol Vandromme, Le Nouveau Courrier de Gand

« Tout en finesse et en vigueur, avares de grands mots et d’adjectifs, ces portraits évoquent la pureté élégante des dessins d’Ingres et nous incitent à ce vice impuni : la relecture. »
Bruno de Cessole, Valeurs Actuelles

« Un panorama du XXe siècle littéraire qui brille d’abord par l’excellence de son style, mais aussi par la liberté de son ton. Essentiel. »
Nicolas Elders, La Libre Belgique

« Michel Mourlet est un parfait maître de maison. […] Le menu est à l’avenant : Portraits savoureux, anecdotes croustillantes. »
Étienne de Montety, Le Figaro Magazine

« On devine sa gourmandise à écrire « de France » après ses « écrivains ». Et on la reconnaît lorsqu’on lit ou relit ses évocations d’Anouilh et de Bernanos de Guitry, de Toulet et de Romains, de Valéry et de Judrin. Oui, très « qualité France », Mourlet. Qualité supérieure, même. On ne vous apprend rien. »
François Kasbi, Service littéraire, N° 64, Juillet – Août 2013

« Beau pavé érudit, fin et roboratif, où l’on retrouve Béraud, Cocteau, Fraigneau, Dupré, Suarès, l’admirable Jacques Perret et notre ami Michel Déon, à qui l’ouvrage est dédié. »
Service littéraire

« Près de cinquante années de critiques n’ont pas affaibli chez Michel Mourlet une réjouissante capacité d’admiration, à laquelle se reconnaissent les âmes généreuses. […] Comme en plus, Mourlet n’a rien abdiqué de son insolence (voir le Temps du refus, critique impitoyable de l’imposture moderniste) et qu’il ne manque pas d’humour, ses Écrivains de France se révèlent une somme appelée à durer. »
Christopher Gérard, Le Magazine des livres

« D’une écriture simple, précise, ciselée et élégante, […] Écrivains de France, XXe siècle est l’ouvrage d’un grand critique littéraire aussi profond dans ses analyses qu’honnête dans ses jugements. »
Arnaud Guyot-Jeannin, Le Spectacle du monde

« Autour d’André Le Nôtre (1613-1700), Michel Mourlet présente le texte complet du scénario dialogué d’un long métrage de docu-fiction intitulé l’Ordre vert. Page de gauche, ses commentaires ; page de droite, la mise en scène et les dialogues. L’ensemble à la manière de Pirandello. Les personnages, s’ils ne sont pas en quête d’auteur, n’en mélangent pas moins la part des comédiens avec les commentaires de l’auteur, proche de Fontenelle, par qui tout s’explique avec les lumières de la raison. Mourlet en profite pour réunir des extraits de ses œuvres précédentes. Elles tournent autour de l’axe représenté par l’idée de jardin, Louis XIV et Le Nôtre. Il ajoute que Le Nôtre est « une sorte de Michel-Ange rustique, ample, divers, profond et simple », qui sait faire rimer les éléments de la nature. »
Valeurs Actuelles, 23 janvier 2014

« Les ouvrages consacrés à la langue française, à sa défense et à sa promotion ne manquent pas. Qu’un Américain à son tour s’intéresse à la question parce qu’il manie le français comme sa langue maternelle et qu’il l’aime, voilà qui est passionnant et R-J. Berg n’a sans doute pas fini de nous intriguer. Son livre est passionnant et se lit comme un roman policier. »
Jacques Daussy. Défense de la langue française, N°243

« L’anglais, selon lui, est un cheval de Troie qu’une clique de compradores pousse en avant. Une langue doit évoluer, mais pas n’importe comment. N’a-t-on pas reproché voilà plusieurs dizaines d’années à Montherlant d’avoir écrit « foot » au lieu de football ! Toute phrase, tout paragraphe a sa musique propre. S’il faut en croire Berg, pas de meilleure recette pour apprivoiser le français que de beaucoup lire, et les meilleurs auteurs si possible. […]
Le péril dont parle R-J. Berg a fait du chemin : vous téléphonez à telle société française ; on vous fait attendre avant de vous passer le service demandé, mais en vous parlant anglais. Tel écrivain réputé voit commenter ainsi son manuscrit par un directeur littéraire chevronné : « Vous écrivez trop bien, je n’ai aucune chance de le vendre ! » Aller toujours vers la facilité, inlassablement, telle est la tendance que fustige l’auteur. Il faut lire ce livre pour la simple raison qu’il fait le tour de la question. »
A. Eibel. Valeurs Actuelles, 24 mais 2012

« De toutes les immigrations, celle qui nous vient d’Amérique du Nord et particulièrement des États-Unis, est la plus francophile. R-J. Berg publie Péril en la demeure, sous-titré Regards d’un Américain sur la langue française. Attention : je n’utiliserai pas cette sotte expression :
« Je ne suis pas d’accord avec tout, mais… ». Rien n’oblige à être d’accord avec tout et tout le monde. Ce qui compte, c’est le ravissement devant un étranger qui nous appelle à mieux défendre notre langue. Seulement Berg n’est pas un étranger, c’est un Français. Il l’est consubstantiellement ; son érudition nous émerveille et sa critique des défenseurs maladroits du français nous, comment dit-on, déjà ? Nous interpelle. »
Alain Paucard. Causeur, 4 septembre 2011

« Un festival qui vaudrait bien celui d’Avignon, un feu d’artifice digne d’un 14 juillet. Michel Mourlet croit en l’éternel retour, aux situations qui reviennent à travers les siècles, les mêmes choses mais par un autre chemin. Des sentiments, des passions, ce jeu de masques dont il connaît les règles. Du théâtre mettant en scène la vie dans un grand éclat de rire. Pourtant l’auteur nous explique, dans ses commentaires, au fil de ses pièces, les difficultés rencontrées pour faire jouer son art qu’il maîtrise à la perfection. »
Livr’Arbitres. Nouvelle Série, N° 15. Automne 2014

« Depuis bientôt cinquante ans, Michel Mourlet ferraille sans faiblir contre l’imposture aux mille faces ou, pour le citer, contre « la conjuration des trois T : Trissotin, Tartuffe et Torquemada ». Dès la fin des années 50, cet écrivain amateur de théâtre et de cinéma – théoricien, dans Présence du cinéma, du courant dit mac-mahonien – livre ses premières escarmouches contre une avant-garde vénéneuse avant d’être obsolète. Sous le titre générique Le Temps du refus, trois recueils d’essais ont paru depuis 1976, L’Éléphant dans la porcelaine (La Table ronde), Crépuscule de la modernité et La Guerre des idées (Trédaniel), qui tous trois mettent en pièces les erreurs à la mode avec autant d’esprit que d’opiniâtreté.
Aujourd’hui, c’est un quatrième volume, Instants critiques, qui paraît dans une maison dont l’enseigne, Alexipharmaque, définit à la perfection l’esprit de l’éditeur comme celui de son nouvel auteur, puisque ce terme grec désigne le contrepoison. Près d’un demi-siècle de rébellion aristocratique contre la culture officielle trouve ainsi non une improbable conclusion – il reste du pain sur la planche et M. Mourlet a gardé des jarrets de mousquetaire ‒, mais un premier bilan, entre lucidité (« la liberté de parole, soit par censure hiérarchique, soit par autocensure, soit par abrutissement spontané, a été divisée par deux ») et optimisme, car cette église du néant se lézarde de jour en jour. Malgré le rabâchage permanent, malgré l’arrogance d’élites sclérosées, le bon sens et le goût, naguère diabolisés, refont surface. Même s’il faudra des décennies pour décontaminer le paysage culturel, les saturnales de l’esprit ont pris fin. Conscient avec Renan que « l’homme ne s’improvise pas », Mourlet démonte avec brio l’idéologie de la table rase qui fonda cette révolte nihiliste contre le vrai et le beau. Depuis quelques années, une réaction se dessine sous nos yeux avec Jean Clair, Philippe Muray, Jean-François Mattéi, Eric Werner, bien d’autres encore. N’oublions jamais que, avec Le Temps du refus, Mourlet aura préparé cette renaissance intellectuelle et morale. Salut au pionnier ! »
Christopher Gérard, Facebook, 4 avril 2011

« Instants critiques, le Temps du refus, achève un cycle commencé avec l’Éléphant dans la porcelaine (1976), puis continué avec Crépuscule de la modernité (1989) et la Guerre des idées (1993), où est pourfendue la « politique culturelle » à l’œuvre depuis trente-cinq ans. Opposé au progressisme bourgeois, au nom d’un traditionalisme populaire exigeant, Mourlet stigmatise, notamment, le non-art contemporain, passé de la rupture à l’académisme , Bouvard, Pécuchet et le suffrage universel et l’Histoire à l’américaine. »
Arnaud Guyot-Jeannin, Le Spectacle du monde

« Malgré le rabâchage permanent, malgré l’arrogance d’élites sclérosées, le bon sens et le goût, naguère diabolisés, refont surface. Même s’il faudra des décennies pour décontaminer le paysage culturel, les saturnales de l’esprit ont pris fin. Conscient avec Renan que « L’homme ne s’improvise pas », Mourlet démonte avec brio l’idéologie de la table rase qui fonda cette révolte nihiliste contre le vrai et le beau. Depuis quelques années, une réaction se dessine sous nos yeux avec Jean Clair, Philippe Muray, Jean-François Mattéi, Eric Werner, bien d’autres encore. N’oublions jamais que, avec Le Temps du refus, Mourlet aura préparé cette renaissance intellectuelle et morale. Salut au pionnier ! »
Christopher Gérard, La Cause littéraire

« Dans ses Instants critiques, Michel Mourlet se cabre devant ces livres qui font l’objet de toutes les considérations officielles parce que d’une actualité brûlante et par voie de conséquence possédant une valeur absolue. […] L’œuvre de Michel Mourlet s’inscrit dans le prolongement d’un Jean Paulhan dont il faut se rappeler qu’il publia en 1941 les Fleurs de Tarbes ou la Terreur dans les Lettres. »
Alfred Eibel, Valeurs Actuelles

Deux précisions biographiques sur José Mange :

« José Mange fut très lié à l’école des poètes fantaisistes, comme le rappelle son biographe Christian Puech (…). À ceux qui ne connaissaient de lui que quelques toiles, l’exposition toulonnaise – en octobre-novembre 2003 – est une véritable révélation, dont l’éblouissante richesse (de palette, de lumière, de matière, de paysages…) devrait attirer tous les authentiques amoureux de la peinture. »
La Une

« José Mange s’était marié à cinquante ans avec une jeune fille de plus de trente ans sa cadette, qui a confié ses souvenirs à C. Puech, lequel a construit à jamais la légende de José Mange dans ce magnifique ouvrage… »
Le Spectacle du monde

Deux réactions du pays profond :

« Ce livre se lit comme un roman passionnant, complet, révélateur et parfaitement véridique, ce qui ne gâte rien. J’ai été bouleversée. On nous avait caché (…) la vie héroïque de cet artiste humaniste injustement ‘maudit’ par quelques intolérances dictatoriales.( …] Dans ce beau livre on voit défiler la grandeur et la médiocrité de notre siècle, entre le Languedoc, Paris et le Causse du Larzac. (…) C’est dire l’intérêt, l’actualité et la rareté de cet ouvrage… Un magnifique cadeau de Noël. »
L.E., L’Aveyronnais

« Un livre d’actualité, peut-être pour mille ans. »
J.-M. Louirette, Le Pays

« L’auteur analyse avec précision et ironie plus de 400 mots, expressions ou tournures dans l’air du temps. »
Défense de la langue française, N° 228

« L’ouvrage attire notre attention sur les traquenards qui nous attendent et que n’évitent pas toujours les académiciens. »
Alfred Eibel, Valeurs actuelles

« À la radio et à la télé, ils parlent le dialecte de la technostructure yankee qui se mâchonne, chez les prolos comme chez les proprios. Michel Mourlet ne supporte ni leurs débagoulis ni leurs borborygmes. Il est trop amoureux de la langue pour tolérer que les barbares de l’intérieur fassent souffrir le martyre au français. »
Pol Vandromme (Vagabondages, Le Rocher, 2007)

« À chacun, Mourlet assène son paquet, magistralement expédié, avec autant d’élégance que de bien-fondé. »
Philippe d’Hugues, La Une

« Michel Mourlet oppose aux mille violences quotidiennes faites au français l’arsenal du juste langage éclairé d’un humour acerbe. »
Ėric Vatré, 92 Express

« Michel Mourlet est notre Jimini Cricket, notre conscience linguistique. L’ironie en plus. »
Étienne de Montety, Le Figaro Magazine

Quelques appréciations recueillies en 1985 par les Ėditions Loris Talmart sur les rabats de couverture d’un ouvrage ultérieur :

« Je l’ai lu d’un trait. Il le mérite. Voilà un nouveau Rivarol. »
Alain Peyrefitte, de l’Académie française

« Discours qui s’imposait. Brièvement, tout est dit, et sur le fond surtout. »
Jean Raspail

« Puisse l’appel de Michel Mourlet être le signal d’une renaissance. »
Jours de France

« Superbe d’intelligence et de concision. »
Alain de Benoist

« Ce Discours est le bienvenu. »
Michel Debré

« Ceux qui s’intéressent encore à la pureté de la langue française liront avec délectation (ce) petit livre… »
Le Parisien Libéré

« Parler, si bien, d’un sujet si important pour nous tous. »
Olivier Guichard

« À l’heure où nos chercheurs sont contraints de rédiger leurs comptes rendus en anglais, le Discours de la langue indique aux Français (…) qu’il faut maintenant traiter ces questions sans esprit de recul. »
Jules Monnerot

« Michel Mourlet pose la seule véritable question : celle des enjeux d’une telle bataille. »
Qui-Vive international

« Lucide plaidoyer en faveur du français. »
René Huyghe, de l’Académie française

« Merci de juger aussi juste, de voir aussi loin, et de refuser l’indolence. »
Michel Jobert

« Une cinquantaine de pages, mais d’une robustesse éclatante. »
Le Rappel (Belgique)

« Simon Segal n’est pas un peintre ‘à la mode’. Lui qui, à une certaine époque, a été tenté par la peinture non figurative et a eu la lucidité et le courage de s’en écarter, quel mauvais exemple et quel mauvais élève ! Ce franc-tireur connaît pourtant un sort plus enviable que les peintres officiels : son œuvre suscite la ferveur de ceux qui voient clair dans le présent, c’est-à-dire dans l’avenir. » (Suivent 2 pages entières, format demi-quotidien, d’extraits de l’ Autobiographie assortis de commentaires.)
Matulu n° 16, juillet 1972

« Török mène tout son petit monde en bateau avec une rare maestria dans un roman qui, entre pastiche et pamphlet, propose une éblouissante réflexion sur les pouvoirs de l’illusion. »
Chrstopher Gérard , Le Spectacle du Monde

« Accumulant avec habileté un nombre important de détails, le romancier crée une atmosphère de mystère, laissant planer une menace… »
Alfred Eibel, La Tête en noir

« Török renforce son récit en y instillant une dose non négligeable d’érudition, établissant des rapprochements avec l’Histoire, comme si le présent en train de se construire n’était qu’une répétition de ce qui fut conçu pour le malheur des nations. »
A.E., Valeurs actuelles

« Laudateur du Château de Versailles comme lieu central, à la fois étatique et symbolique, exemplifiant le classicisme du Grand Siècle, Michel Mourlet n’en critique pas moins la « géométrie botanique » et la « domestication de la nature » du jardin. Il en profite également pour pourfendre la société de connivence actuelle, le faux art contemporain subventionné (le Festival d’Avignon, etc.) et la dictature du « fric ». Un film intelligent et corrosif. »
Arnaud Guyot-Jeannin, À l’écoute de Radio Courtoisie

« Témoin et acteur bouleversé de la désespérance moderne, décrite sans détour et sans fard du milieu des années 1970 à celui ds années 1980, en un temps où les impératifs insistants de la jouissance sans entraves commençaient à se changer en grimaces vociférantes et en fausses paroles… »
L.M., Éléments

« À l’écart de la critique littéraire maligne, de la hâblerie, loin de la critique accusatrice à la Vychinski, Jean-Pierre Martinet se mêle à la matière d’un livre, en rend compte, en parle comme d’un conte de Perrault. »
Alfred Eibel, Service littéraire

« Accepteriez-vous de contribuer à la défense et illustration de la langue française en consacrant une page à ce sujet, qui est tantôt douloureux, tantôt exaltant ? Vous participeriez ainsi au combat que mène depuis cinquante ans notre petite et vaillante association … À cet appel qui leur était lancé par l’académicien Jean Dutourd, président de l’association Défense de la langue française, quatre-vingts « combattants » venus de France et de terres de francophonie ont répondu afin que cesse le « vandalisme » que subit, à coups « d’américanismes, de jargon commercial, de barbarismes publicitaires, de contresens de traducteurs ignorants », la langue de Molière. Sans nul doute, ces pages seront ressenties par beaucoup comme le témoignage d’un combat d’arrière-garde. Pourtant, pour qui sait lire entre les lignes, elles sont aussi, avant tout, une ode à la diversité linguistique, en particulier au sein de l’Union. « Ce que nous rejetons avec force, c’est l’appauvrissement d’un monolinguisme réducteur sous le prétexte fallacieux qu’il serait le fruit inéluctable d’une certaine forme de mondialisation », tempête ainsi le très courtois et mesuré Jean-Pierre de Launoit, Belge qui préside notamment l’Alliance française. Les coups de griffe acerbes décochés par Hervé Lavenir de Buffon et Jacques Myard à la Commission pour sa politique d’abandon du français qui, à l’instigation des Britanniques et anglophones, conduit à « faire de l’Europe une région d’un ensemble transatlantique à dominante anglo-américaine », disent le même malaise. « Tant que le dernier bastion n’est pas tombé, le succès est possible », veut se rassurer Jean Dutourd. Faute de quoi il ne restera plus qu’à se consoler en admettant que, décidément, les chants les plus désespérés sont les chants les plus beaux. »
P Bo ©

L’auteur :  » Un auteur quasi nonagénaire, dans ce livre ample, foisonnant, maîtrisé, se révèle d’une jeunesse sans pareille. « 
POL VANDROMME , La Semaine (Belgique).

Le propos :  » Une sorte de comédie humaine sous le soleil du midi. « 
JEAN-CLAUDE LAMY, Le Figaro

La technique :  » Un tour de force qui se dissimule sous l’exceptionnelle clarté du récit. « 
JEAN-PAUL TÖRÖK, La Une.

La maîtrise :  » À quatre-vingt-six ans révolus, l’homme prouve qu’il continue de manier magistralement cet instrument de précision. « 
BERNARD LE SAUX, Le Figaro

L’œil du peintre :  » Rien ne lui échappe, pas même un battement de cils.  » ALFRED EIBEL, Valeurs Actuelles

Le décor :  » Un roman extraordinaire (…) qui nous fait palper l’atmosphère méditerranéenne, le souffle paisible de la mer… « 
P. FOURNIER, Le Nouvelliste

La férocité :  » La contemplation des mollets mous des vacanciers (…) donne des envies de meurtre… « 
Libération

Vu de province :  » On suit le déroulement des événements avec délices. »
La Gazette Berrichonne.

L’ancien ministre Alice Saunier-Seïté publie la première biographie du conventionnel Boissy d’Anglas.
Le Figaro

La Une :
 » Talleyrand, Fouché ont laissé eux aussi une image ambiguë, où l’on démêle difficilement l’intérêt personnel et le service de la France à travers ses métamorphoses successives. Alice Saunier Seïté ne tranche pas vraiment, mais offre à son héros le bénéfice du doute. Il a traversé tous les régimes avec une prudence qui ressemble à de la sagesse et, semble-t-il, un attachement à la liberté au-delà des opinions et des principes réducteurs. « 

 » L’académicien des Sciences morales et politiques cerne un personnage énigmatique… « 
La Montagne

L’Action Française :
 » Au-delà de Boissy, le livre de Mme Saunier-Seïté présente un grand intérêt car il donne un excellent reflet de l’état d’esprit d’une grande partie de la bourgeoisie du XVIIIe siècle finissant, pressée de remplacer la noblesse, nourrie d’idées dites nouvelles à tel point que, pour citer Boissy lui-même, ‘la Révolution était déjà dans toutes les têtes’ avant même les Etats généraux de 1789. « 

 » Le mérite du Mythe d’Argus est de rappeler qu’il y eut en France une télévision de qualité. « 
Valeurs Actuelles

 » Michel Mourlet dissèque le ‘8e Art’, construisant une remarquable théorie du phénomène télévision. « 
Faits & Documents

 » Les différences fondamentales entre cinéma et télévision (où le rapport son-image est inversé) sont magistralement élucidées. « 
Eléments

La Une :  » Nostalgique de l’O.R.T.F. et de l’utopie du 8e Art, l’auteur étudie (…) la possibilité de restituer au médium d’aujourd’hui son ancien statut de moyen d’expression. « 

Les Écrits de l’image :  » S’il faut reconnaître un immense mérite au contenu de la Télévision ou le Mythe d’Argus, c’est bien celui de militer pour une télévision en prise avec les traditions nationales, dont la nôtre au premier chef. Face à l’hégémonie américaine d’un côté, et à la médiocrité institutionnalisée de l’autre, une télévision française et authentiquement différenciée doit être le modèle à préconiser. « 

Cet ouvrage entend rappeler la raison d’être originelle des ‘étranges lucarnes’ (…) et proposer quelques motifs de n’en pas désespérer totalement.
Radio France

L’Action Française :  » Un réquisitoire à deux voix contre l’abdication de la France au sein d’un magma européen, car  » la souveraineté nationale, ce n’est rien d’autre que la liberté, notre liberté à tous « . Cette abdication s’apparente à un  » mystérieux échouage de baleines sur le rivage bruxellois « . (…) Une brochure dont la substance dépasse largement l’échéance présidentielle. « 

 » Tout ce qu’on relève en fait de caractéristiques propres à la droite ou à la gauche, remarque Mourlet, se rattache à ce qui constitue la charnière ontologique de l’être humain : d’un côté, le reflet du monde dans la conscience (= expérience, savoir, lucidité) ; de l’autre, le recul hors du monde par la liberté (= révolte, déracinement, chimères), à ceci près qu’on devra ‘insister sur le fait que ce ne sont ni la liberté, bien suprême, ni la révolte en soi qui sont mises en cause ici, mais leur irruption incongrue dans des domaines gouvernés par la nature humaine’. « 
Liberté Politique

 » Les recettes originales imaginées par Jacqueline Ury, journaliste spécialisée dans la gastronomie, révèlent les harmonies savoureuses. « 
oeno.tm.fr

 » J. Ury se signale régulièrement par la qualité de ses recherches et le goût qu’elle cherche à faire partager pour la grâce teintée de rusticité affective qu’apportent ses cuisines de tradition affirmée. « 
L’Écho du Centre

 » Un étonnant livret sur l’alliance mets-vin. « 
Le Progrès de Lyon

 » Des recettes à garder à portée de main dans toutes les cuisines. « 
La Marseillaise

 » En moins de cent pages, on se régale par avance d’une évocation savoureuse qui transfigure la sincérité du terroir. « 
Le Figaro

 » Une idée judicieuse qui séduira un large public. « 
La Provence

 » Pour les amoureux des gourmandises solides aussi bien que liquides… « 
L’Humanité

 » Un ouvrage de référence. « 
Le Dauphiné

 » A chacun de découvrir ces compositions entre le Rasteau doré ou rouge et ces plats familiaux, gastronomiques, astucieux ou inattendus. « 
Le Républicain Lorrain

 » Il convient de signaler l’élégance de la maquette et de la mise en page. « 
La Revue du Vin de France