André Fraigneau

Michel Mourlet

Fruit de trente années d’amitié littéraire, ce tiré à part d’un long chapitre d’écrivains de France étudie l’œuvre de l’écrivain, disparu en 1991, qui n’a cessé de donner l’exemple d’une littérature “ dégagée ”, c’est-à-dire infiniment moins futile que les engouements successifs et toujours déçus des intellectuels “ engagés ”.
Des Voyageurs transfigurés à la grande trilogie des Journaux apocryphes en passant par les étonnements de Guillaune Francoeur, l’œuvre du “ colonel des Hussards ” est passée au crible d’une analyse aussi vigilante qu’admirative. Illustré de deux dessins de Salvat.

L’auteur

C’est grâce à André Fraigneau et Michel Déon, qu’il rencontre tous deux fin 1959, que Michel Mourlet fait ses débuts en littérature. Concernant l’auteur de Guillaune Francoeur, outre écrivains de France, XXesiècle (Valmonde-Trédaniel), il a publié “ André Fraigneau ” dans Une bibliothèque d’écrivains (Le Rocher). Il a fondé en 1993 les Amis d’André Fraigneau et prépare l’édition du Livre du Centenaire. (Voir aussi notices précédentes.)